Les poussières d'astéroïdes sont arrivées sur Terre
Samedi 5 décembre 2020, la petite capsule s'est posée sans encombres dans le sud de l'Australie, près du village de Woomera. Les précieux échantillons collectés à 300 millions de kilomètres de là sur l'astéroïde Ryugu par la sonde japonaise Hayabusa 2 sont sains et saufs. Leur analyse scientifique va donc pouvoir commencer bientôt à Lille, grâce à un équipement de pointe, le microscope TITAN THEMIS, inauguré il y a trois ans.
Retrouvez l'article écrit par Hugues Leroux et Damien Jacob, de l'unité Matériaux et transformations (UMET¹) dans The Conversation qui explique l'enjeu de ces analyses, ainsi que le communiqué de presse diffusé à cette occasion. À l’automne prochain, le Learning center innovation Lilliad proposera une exposition et des conférences afin de mieux comprendre les enjeux de ces recherches, dans le cadre de la nouvelle saison de son espace Xpérium.
¹ (Univ. Lille/CNRS/INRAE/ENSCL)
Image : ISAS/JAXA, CC BY 4.0 <https://creativecommons.org/licenses/by/4.0>, via Wikimedia Commons
The capsule in the Australian outback.
— Australian Space Agency (@AusSpaceAgency) December 6, 2020
Magnificent images have been released from today's discovery and recovery of the #Hayabusa2 sample return capsule in the Woomera Prohibited Area, South Australia.
???? @JAXA_en @haya2e_jaxa. pic.twitter.com/2JaqxhMB7n
La récupération de la capsule, en décembre 2020