Et si on prenait l’enfant comme référence pour penser les usages de la ville ? Telle est l’idée fondatrice du laboratoire « Ville à hauteur d’enfants » créé à l’initiative de la ville de Lille, et confié à Clément Rivière, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille et spécialiste de ces questions, aux côtés d’élus, de chercheurs, paysagistes, urbanistes, représentants associatifs, professionnels de l’enfance et de l’éducation, etc. Leur travail d’intelligence collective s’est appuyé sur la participation de plusieurs centaines d’enfants et adolescents lillois.

Le 30 avril 2025, Clément Rivière a remis au nouveau maire de Lille, Arnaud Deslandes, les propositions du laboratoire. Fruit d’un travail collectif approfondi mené depuis l’automne 2022, ces 50 propositions sont très diverses : mettre plans et signalétique à hauteur d’enfant, pérenniser les rues scolaires, faire connaître les droits des enfants aux lillois, créer des espaces pour apprendre à faire du vélo, autoriser le dessin sur certains trottoirs et murs, faire découvrir les autres quartiers, sensibiliser tout le monde aux violences faites aux enfants, organiser une journée sans voitures, augmenter la durée des feux piétons, ouvrir les cours d’école hors temps scolaire, réduire la place de la publicité, créer des terrains d’aventure et des miroirs d’eau, etc. Ces propositions sont désormais à la disposition de toutes les structures et de tous les acteurs engagés sur ces thématiques, à Lille et ailleurs. ■

Et si on prenait l’enfant comme référence pour penser les usages de la ville ? Telle est l’idée fondatrice du laboratoire « Ville à hauteur d’enfants » créé à l’initiative de la ville de Lille, et confié à Clément Rivière, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille et spécialiste de ces questions, aux côtés d’élus, de chercheurs, paysagistes, urbanistes, représentants associatifs, professionnels de l’enfance et de l’éducation, etc. Leur travail d’intelligence collective s’est appuyé sur la participation de plusieurs centaines d’enfants et adolescents lillois.

Le 30 avril 2025, Clément Rivière a remis au nouveau maire de Lille, Arnaud Deslandes, les propositions du laboratoire. Fruit d’un travail collectif approfondi mené depuis l’automne 2022, ces 50 propositions sont très diverses : mettre plans et signalétique à hauteur d’enfant, pérenniser les rues scolaires, faire connaître les droits des enfants aux lillois, créer des espaces pour apprendre à faire du vélo, autoriser le dessin sur certains trottoirs et murs, faire découvrir les autres quartiers, sensibiliser tout le monde aux violences faites aux enfants, organiser une journée sans voitures, augmenter la durée des feux piétons, ouvrir les cours d’école hors temps scolaire, réduire la place de la publicité, créer des terrains d’aventure et des miroirs d’eau, etc. Ces propositions sont désormais à la disposition de toutes les structures et de tous les acteurs engagés sur ces thématiques, à Lille et ailleurs. ■

Et si on prenait l’enfant comme référence pour penser les usages de la ville ? Telle est l’idée fondatrice du laboratoire « Ville à hauteur d’enfants » créé à l’initiative de la ville de Lille, et confié à Clément Rivière, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille et spécialiste de ces questions, aux côtés d’élus, de chercheurs, paysagistes, urbanistes, représentants associatifs, professionnels de l’enfance et de l’éducation, etc. Leur travail d’intelligence collective s’est appuyé sur la participation de plusieurs centaines d’enfants et adolescents lillois.

Le 30 avril 2025, Clément Rivière a remis au nouveau maire de Lille, Arnaud Deslandes, les propositions du laboratoire. Fruit d’un travail collectif approfondi mené depuis l’automne 2022, ces 50 propositions sont très diverses : mettre plans et signalétique à hauteur d’enfant, pérenniser les rues scolaires, faire connaître les droits des enfants aux lillois, créer des espaces pour apprendre à faire du vélo, autoriser le dessin sur certains trottoirs et murs, faire découvrir les autres quartiers, sensibiliser tout le monde aux violences faites aux enfants, organiser une journée sans voitures, augmenter la durée des feux piétons, ouvrir les cours d’école hors temps scolaire, réduire la place de la publicité, créer des terrains d’aventure et des miroirs d’eau, etc. Ces propositions sont désormais à la disposition de toutes les structures et de tous les acteurs engagés sur ces thématiques, à Lille et ailleurs. ■