IUF : 4 enseignant·e·s-chercheur·se·s de l’université lauréat·e·s
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Talents
paru le
31/05/2022
- Mise à jour le
08/06/2022 (12:51)
Par arrêté de la ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation en date du 26 mai 2022, quatre enseignant·e·s-chercheur·se·s de l'Université de Lille sont nommé·e·s membres de l'Institut universitaire de France, au titre de la chaire fondamentale, à compter du 1ᵉʳ octobre 2022, pour une durée de cinq ans.
Aude De Mézerac-Zanetti
Membre junior
- Maîtresse de conférences en civilisation et histoire britannique, référente innovation pédagogique à la faculté
- Faculté Langues, cultures et sociétés
- CNU : langues et littératures anglaises et anglosaxones
- Centre d'études en civilisations, langues et littératures étrangères (Cecille)
Walter Rudametkin
Membre junior
- Maître de conférences HDR en informatique
- Polytech' Lille
- Domaine de recherche : génie logiciel, sécurité et vie privée
- CNU : informatique
- Centre de recherche en informatique, signal et automatique de Lille (Cristal)
Isabelle Surun
Membre sénior
- Professeure des universités en histoire contemporaine
- Faculté des humanités
- Domaine de recherche : histoire comparée des colonisations, histoire de l'Afrique, histoire des savoirs
- CNU : histoire et civilisation, histoire des mondes modernes et contemporains
- Institut de recherches historiques du Septentrion (Irhis)
Sabine Szunerits
Membre sénior
- Professeure des universités en chimie analytique, nanomatériaux
- Faculté des sciences et technologies
- Domaine de recherche : biocapteurs (optiques et électrochimiques), nanomédecine, électrocatalyse
- CNU : chimie théorique, physique, analytique
- Institut d'électronique, de microélectronique et de nanotechnologie (IEMN)
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Institut universitaire de France (IUF)
L'IUF a pour mission de favoriser le développement de la recherche de haut niveau dans les universités et de renforcer l'interdisciplinarité, en poursuivant trois objectifs :
- Encourager les établissements et les enseignant·e·s-chercheur·se·s à l'excellence en matière de recherche, avec les conséquences positives que l'on peut en attendre sur l'enseignement, la formation des jeunes chercheur·se·s et plus généralement la diffusion des savoirs.
- Contribuer à la féminisation du secteur de la recherche.
- Contribuer à une répartition équilibrée de la recherche universitaire dans le pays, et donc à une politique de maillage scientifique du territoire.